28 août 2006
J'ai pas de titre
Je n'ai pu me mettre aux normes de ton métronome
L'amour crispé comme les sourires dans un métro morne
Au fond je suis un grand garçon au coeur resté trop môme
Tes sourires sont des trésor tels qu'il serait bête d'être économe
Je cris fort l'amour pour voir si les échos dorment
Mais reste sourd aux réponses pour n'entendre ceux que ton égo nomme
Combien de cordes à ton arc et de pagaies à ton canoé
Aucune corne à mon arche je ne suis en aucun cas Noé
En cas de larmes les cornus et les pas gais auront besoin de boués
Moi je galère car à part râmer je demeure peu doué
Combien de bâteaux en partance pour le paradis ont échoués?
Parfois la croisière s'annonce magique et finie ajournée
Tant de bouteilles à la mer jetées dans la toile des nouvelles sphères
Et combien toucheront Terre par manque d'égars débonnaire
On nous bourre le crâne de ces chansons sous célophane
Si bien que même la pire came attire ses lots de fans
Même dans les ondes de la parabole je ne capte aucun ras le bol
Pourtant si mes oreilles s'y collent je risque la camisole
C'est le larsen qui se parsemme les antennes nous malménent
Alors avant qu'elles ne nous alliennent on devrait briser nos chaînes
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